Nos spécialités

kinésitérapie

 

La kinésithérapie est une spécialité paramédicale pratiquée par un professionnel diplômé dans ce secteur.
La kinésithérapie dont le champ d’action est assez vaste (ortho/traumatologie, respiratoire, neurologie, sport, …) s’adresse à n’importe qu’elle personne ayant une maladie, une blessure ou subit une opération.

La kinésithérapie est principalement axée sur le mouvement, que ce soit actif ou passif.
Le kinésithérapeute, au vu de sa formation, dispose de nombreuses techniques visant à soulager le patient.

Celui-ci utilise des massages, des mobilisations, des exercices de renforcement, des étirements, des postures. Mais il peut également recourir à des appareils de physiothérapie tels que les ultrasons, l’électrothérapie, la cryothérapie et autres moyens.

La kinésithérapie, en étroite collaboration avec le patient, fera en sorte de mettre tout en œuvre afin de soulager et aider le patient à sa guérison.

kinésitérapie sportive

 

Pour la plupart des gens, le sport occupe une place importante dans leur vie. Que ce soit pour le loisir ou au plus haut niveau, le sportif est exposé aux risques de blessures, et peut donc, être un jour confronté à cette douloureuse épreuve.

La blessure, dont les causes sont nombreuses, peut survenir brutalement (fracture, déchirure, entorse,…) ou de manière plus insidieuse (tendinite, pubalgie,…)

La douleur et la diminution du niveau fonctionnel de la zone touchée entraine donc l’arrêt de l’activité sportive. Il faut maintenant traiter cette blessure !

C’est pourquoi, le kinésithérapeute joue un rôle essentiel auprès des sportifs.

Grâce à ses compétences et sa bonne connaissance du milieu sportif, il mettra en place un traitement adapté au patient pour l’aider au mieux dans sa rééducation.

kinésitérapie respiratoire

 

Les techniques de kinésithérapie respiratoire permettent au patient d’améliorer ou rétablir un état respiratoire fonctionnel ou à expectorer les sécrétions présentes dans l’arbre bronchique. Basée sur les techniques de drainage autogène qui sont proches de la physiologie, efficaces et adaptées à tous les patients, elle permet la prise en charge de la bronchiolite chez le nourrisson et de l’adulte présentant diverses dysfonctions respiratoires.

ATTENTION
L’ostéopathie connaît ses limites et ne prétend pas tout soigner.

Elle ne se propose pas de guérir les maladies dégénératives (cancer, sclérose en plaque…), les maladies génétiques (mucoviscidose, myopathie…), les maladies infectieuses (tuberculose, sida, tétanos…).

Cependant, même si l’ostéopathie ne peut avoir d’action sur les affections ci-dessus, elle peut avoir une action sur les conséquences de ces pathologies, en particulier sur la douleur, par libération des tensions des structures environnantes.
Dès lors, l’ostéopathie peut être considérée comme une thérapie palliative complémentaire à ne pas négliger.

3. Principes de l’ostéopathie

 

a. L’unité du corps

Le corps humain est considéré dans sa globalité. Si une seule partie du corps est atteinte, cette dysfonction est susceptible de déséquilibrer l’harmonie de l’individu dans son entièreté. Le rôle de l’ostéopathe est non seulement de trouver le segment corporel qui est atteint pour remédier à sa dysfonction, mais il se doit d’appliquer un traitement qui restaurera l’équilibre du patient dans sa globalité.

b. La structure gouverne la fonction

Le bon fonctionnement de la structure permet une physiologie harmonieuse. C’est en équilibrant la structure du patient que l’ostéopathe permet d’en améliorer sa santé.

c. La règle de l’artère

Toute structure non atteinte d’une lésion organique est capable de fonctionner normalement, pour peu que sa vascularisation soit correcte. Le rôle de l’ostéopathe est donc de favoriser la libre circulation, en levant les barrières mécaniques et tissulaires qui peuvent entraver son libre fonctionnement.

d. Principe d’auto guérison

Le corps dispose de nombreux systèmes de défense, de réparation, de compensation et d’adaptation. L’ostéopathe ne prétend qu’à redonner aux structures leur souplesse tissulaire et leur capacité de mouvement pour laisser ensuite du temps au corps de s’auto-guérir.

4. Déroulement de la séance d’ostéopathie

Les consultations sont assurées uniquement sur rendez-vous.
Le déroulement de la consultation dure entre 45 minutes et une heure.
Le tarif de la séance est de 50 euros.
Celle-ci se décompose en plusieurs étapes.

a. L’anamnèse

L’anamnèse est l’interrogatoire. C’est dans cette première étape que le patient va faire part de son motif de consultation. Le patient expose son problème et le thérapeute lui pose toutes les questions nécessaires pour lui faire préciser la nature de celui-ci. Cela permet d’orienter et d’adapter le traitement ostéopathique pour qu’il soit le plus efficace.

b. Le bilan clinique

Cette phase de tests est essentielle pour dresser le diagnostic ostéopathique. A la fin de cette phase, l’ostéopathe connaît les zones de restrictions de mobilités de votre corps, autrement dit, les zones qui ne bougent plus ou moins bien.

C’est au terme de ces deux premières étapes que l’ostéopathe décidera s’il peut vous traiter ou non. S’il ne peut pas vous traiter, il vous orientera vers votre médecin généraliste ou spécialisé.

c. Le traitement

À la fin de l’examen, votre ostéopathe vous expliquera ce qu’il a trouvé, ainsi que le diagnostic de votre douleur ou des symptômes. Il va alors suggérer l’approche du traitement qui sera la plus pertinente pour vous. Ce traitement comprend des techniques de tissus mous, d’étirements, de mouvements rythmiques répétitifs, de traitements cranio-sacrées ou de manipulations.

d. Après la séance

De façon générale, pour ne pas nuire au traitement, il est demandé au patient d’éviter les efforts trop intenses dans les deux jours qui suivent. Il faut laisser le corps intégrer la séance tranquillement, en vivant normalement.
Suite à l’intervention de l’ostéopathe, le corps effectue un travail de régulation. Les 2-3 jours qui suivent, vous pourrez vous sentir fatigué, gêné à cause de l’inflammation qui suit le traitement ostéopathique. Les zones tendues se relâchent et peuvent donner des sensations de courbatures. Il peut même y avoir une exagération des troubles fonctionnels. Ces effets ne doivent pas durer plus de 48-72h. C’est à partir du 4e ou 5e jour que l’on constate l’amélioration. Durant les 2 semaines qui suivent, le corps va continuer à modifier son équilibre jusqu’à se stabiliser dans un état qui sera le véritable résultat de la séance. C’est pourquoi il faut toujours espacer les séances de quelques jours voire quelques semaines pour que le corps s’habitue à son équilibre retrouvé.

Thérapie manuelle

 

Cette thérapie a pour but de comprendre la douleur du patient, analyser ses différents paramètres et trouver l’origine des différents symptômes à travers les différentes structures du corps. Elle permet la prise en charge des symptômes douloureux au travers d’un travail global des chaines lésionnelles pour traiter toutes les pathologies posturales, articulaires, vertébrales et sportives de facon efficace et durable.

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